TA Paris n° 2121032/2 ; TA Montreuil n° 2200066, 2200082, 2200117, 2200141, 2200159 ; TA Melun n° 2201145 à 1153 et 2201182 ; CE n° 462193du 1er juin 2022 ; Décision n° 2022-1006 QPC du 29 juillet 2022 (1607 heures)
La Lettre de l'Employeur Territorial n°1778 du 30 août 2022
TA Paris n° 2121032/2 du 25 octobre 2021
TA Montreuil n° 2200066 du 31 janvier 2022
TA Montreuil n° 2200082 du 31 janvier 2022
TA Montreuil n° 2200117 du 31 janvier 2022
TA Montreuil n° 2200141 du 31 janvier 2022
TA Montreuil n° 2200159 du 31 janvier 2022
TA Melun n° 2201145 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201146 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201147 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201148 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201149 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201150 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201151 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201152 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201153 du 3 mars 2022
TA Melun n° 2201182 du 3 mars 2022
CE n° 462193 du 1er juin 2022
Décision n° 2022-1006 QPC du 29 juillet...
(Lien vers l'article de La Lettre de l'Employeur Territorial n°1778 du 30 août 2022)
Reprenant la proposition d’un rapport sur le temps de travail de Philippe Laurent, président du CSFPT et maire de Sceaux, la loi de transformation de la fonction publique (n° 2019–828 du 6 août 2019) a mis un terme à la possibilité qu’avait les employeurs en 2001, lors du passage aux 35 heures, de maintenir une durée annuelle inférieure à 1 607 heures si la collectivité en bénéficiait déjà. Elle a imposé, dans l’année suivant le renouvellement général de l’assemblée délibérante, un rétablissement de cette durée légale annuelle (article 47).
Dans le Val-de-Marne, concernant 10 communes n’ayant pas délibéré au 1er janvier 2022, le tribunal administratif de Melun a estimé, pour la moitié d’entre elles, qu’un processus était en cours et leur a laissé 4 mois pour aller au terme du...
Pierre-Yves Blanchard le 30 août 2022 - n°1778 de La Lettre de l'Employeur Territorial