Sommaire complet
du 14 novembre 2023 - n° 1013
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
CAA Toulouse n° 20TL23700 M. B du 25 octobre 2022
La Lettre de l'Employeur Territorial n°1835 du 14 novembre 2023
CAA de TOULOUSE - 2ème chambre
N° 20TL23700
Lecture du mardi 25 octobre 2022
Président
Mme GESLAN-DEMARET
Rapporteur
Mme Anne BLIN
Rapporteur public
Mme TORELLI
Avocat(s)
ALLENE ONDO
RÉPUBLIQUE FRANCAISE
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
M. B... A... a demandé au tribunal administratif de Toulouse d'annuler l'arrêté du 21 février 2018 portant diminution de la prime d'encouragement au service public à compter du 1er janvier 2018, et de condamner la commune de Colomiers au paiement de la somme de 3 674,09 euros, somme à parfaire en fonction de la date effective de son départ à la retraite, majorée des intérêts de droit à compter de la date de la première demande d'indemnisation formée le 16 mai...
(Lien vers l'article de La Lettre de l'Employeur Territorial n°1835 du 14 novembre 2023)
Le maire opère une retenue, du 21 juillet au 6 août 2017, sur la rémunération d’un adjoint technique principale de 2e classe pour s’être soustrait à un contrôle médical.
Le bénéfice d’un congé de maladie suppose une affection dûment constatée empêchant l’agent d’exercer ses fonctions et la transmission d’un avis d’arrêt de travail justifiant du bien-fondé du congé sous 48 heures, précisant la durée probable de l’incapacité (articles L. 822–1 à 5 du CGFP).
En cas d’envoi tardif, l’employeur informe l’agent du retard constaté et de la réduction à laquelle il s’expose en cas de nouveau retard dans les 24 mois, la rémunération étant réduite de moitié jusqu’à la date d’envoi.
À noter : l’employeur peut faire procéder à tout moment à une visite de contrôle de l’agent par un médecin...
Pierre-Yves Blanchard le 14 novembre 2023 - n°1835 de La Lettre de l'Employeur Territorial