Sommaire complet
du 04 septembre 2012 - n° 505
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
CE n° 331658 Commune de Saint Gély du Fesc du 13 décembre 2010 (travail effectif et temps de travail)
La Lettre de l'Employeur Territorial n°1317 du 04 septembre 2012
Conseil d'État
N° 331658
2ème sous-section jugeant seule
M. Honorat, président
M. Yves Gounin, rapporteur
Mme Bourgeois-Machureau Béatrice, rapporteur public
SCP ROCHETEAU, UZAN-SARANO, avocats
REPUBLIQUE FRANCAISE
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
Vu le pourvoi sommaire et le mémoire complémentaire, enregistrés les 7 septembre et 3 décembre 2009 au secrétariat du contentieux du Conseil d'Etat, présentés pour la COMMUNE DE SAINT-GELY-DU-FESC, représentée par son maire ; la COMMUNE DE SAINT-GELY-DU-FESC demande au Conseil d'Etat :
1°) d'annuler le jugement du 23 juin 2009 du tribunal administratif de Montpellier en tant qu'il a, à la demande de Mme Virtudes A, d'une part, annulé les décisions du maire de la COMMUNE DE SAINT-GELY-DU-FESC refusant de reconnaître les temps de déplacement du jeudi comme du temps de...
(Lien vers l'article de La Lettre de l'Employeur Territorial n°1317 du 04 septembre 2012)
Le travail effectif représente le temps pendant lequel les agents sont à la disposition de leur employeur et doivent se conformer à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles (articles 2 du décret n° 2000-815 du 25 août 2000 et 7-1 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984). L'absence d'une activité réelle ne fait cependant pas disparaître un travail effectif.
Dans une affaire, le maire refuse de reconnaître certains déplacements comme du travail et d'accorder à une adjointe technique une pause de 20 minutes. En cassation, le Conseil d'État relève que le maire laisse à l’agent, employée à temps non complet à l'entretien de plusieurs écoles communales, 15 minutes pour rejoindre, à la fin de son 1er service le jeudi, son second lieu de travail distant de...
Pierre-Yves Blanchard le 04 septembre 2012 - n°1317 de La Lettre de l'Employeur Territorial