Sommaire complet
du 29 septembre 2016 - n° 691
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
CAA Marseille n° 15MA04530 M. B du 20 janvier 2016 (faute personnelle et responsabilité civile de l'employeur)
La Lettre de l'Employeur Territorial n°1506 du 27 septembre 2016
CAA de MARSEILLE
N° 15MA04530
HOFFMANN, avocat
REPUBLIQUE FRANCAISE
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
M. C...B...a demandé au juge des référés du tribunal administratif de Toulon de condamner la commune de La Garde à lui verser, sur le fondement de l'article R. 541-1 du code de justice administrative, la somme de 1 315,60 euros correspondant à la prise en charge des frais d'avocat qu'il a engagés pour sa défense.
Par une ordonnance n°1500729 du 7 mai 2015, le juge des référés du tribunal administratif de Toulon a rejeté sa demande.
Procédure devant la Cour :
Par une requête enregistrée au greffe le 30 novembre 2015, M.B..., représenté par MeA..., demande au juge des référés de la Cour :
1°) d'annuler l'ordonnance du 7 mai 2015 du juge des référés du tribunal administratif de...
(Lien vers l'article de La Lettre de l'Employeur Territorial n°1506 du 27 septembre 2016)
L'employeur doit protéger son agent à la date des faits commis ou des faits qui lui sont imputés de façon diffamatoire s'il est l'objet de poursuites pénales à raison de faits qui n'ont pas le caractère d'une faute personnelle détachable des fonctions, y compris s’il est entendu comme témoin assisté, placé en garde à vue ou se voit proposer une mesure de composition pénale (article 11 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983).
Dans une affaire, un adjoint des services techniques est poursuivi pour une agression sexuelle commise les 7 et 8 juin 2013 dans l'exercice de ses fonctions. Relaxé par le tribunal correctionnel le 26 juillet, il demande la prise en charge de 1 315 € engagés pour sa défense, sollicitant l'octroi d'une provision que le tribunal lui refuse, cette dernière supposant l'existence d’une obligation non sérieusement contestable ..
Pierre-Yves Blanchard le 27 septembre 2016 - n°1506 de La Lettre de l'Employeur Territorial